Différents oiseaux naturalisés, issus des collections de l’Université Rennes 1, sont observés selon une méthode d’analyse polarimétrique, extrapolée en trois dimensions, nous proposant un basculement de leur appréhension en tant qu’organisme biologique, vers leur perception en tant que paysages, telles des îles chatoyantes jaillissants d’un océan obscur.